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Ubuntu Web App bonne idée ou pas?

Je teste depuis quelques temps une nouveauté qui devrait normalement être disponible dans la prochaine version d’ubuntu les «Ubuntu Web App». Le principe de celles ci est de permettre, via des extensions du navigateur web (pour l’instant Firefox et Chromiun), à différents services web de venir s’intégrer au bureau via Unity. Vous trouverez dans cet article (en anglais) la liste des services supportés pour l’instant. Pour résumer ces services s’intègrent dans le bureau par l’intermédiaire de deux mécanismes : le dock unity et les notifications. Au moment où vous vous rendez sur ce site il vous pose gentiment la question si vous voulez qu’il s’intègre, à vous de répondre oui ou non. La gestion se faisant par l’intermédiaire du service de «comptes en lignes» disponible dans Gnome3 sur lequel s’appuie Unity.

CORRECTION : Ce projet étant en phase de développement très actif tout cela peut changer beaucoup et rapidement.

À l’utilisation

Même si je trouve l’idée générale asse sympathique (malgré quelques réserves que j’exposerais plus tard) il faut bien reconnaître que ce n’est pas si enthousiasmant à l’usage. Avoir des lanceurs spécifiques pour les services web que l’on utilise souvent pourquoi pas mais les avoir dans des onglets épinglés dans Firefox est tout aussi pratique et au moins ils sont ouverts tout le temps. De plus en utilisant ces lanceurs ça ouvre une fenêtre de navigateur supplémentaire au lieu d’un onglet, c’est loin d’être vraiment pratiques.

Deux points sont plus intéressants je trouve : l’affichage des Google docs dans le dash (pour ceux qui l’utilisent ça peut être pratique) et l’intégration dans Shotwell d’une fonctionnalité qui permet d’envoyer plus facilement ses photos sur picassaweb (et Google Plus en même temps)

Tout cela passe par une extension du navigateur donc les notifications ne sont disponibles que si celui-ci est démarré, mais dans ce cas elles  perdent largement de leurs intérêt puisque vous avez les services directement accessible dans un onglet qui se signale quand le contenu a changé. Dans ce contexte m’indiquer le nombre de nouveau tweet alors que j’ai ma page twitter dans l’onglet à coté est peu utile.

Le principe

L’idée de base peut sembler intéressante mais hormis sa réalisation peu attirante elle soulève aussi un problème. On a encore une fois un mécanisme qui participe à la minitelisation d’internet. Ce n’est pas internet avec tout son choix de service que l’on amène sur notre bureau ce sont encore une fois les grands services centralisateurs que l’on nous propose. De plus en faisant le choix de l’extension de navigateur j’ai peur que ce système ne soit pas facilement extensible. J’ai espéré un moment qu’a la manière d’un greasemonkey on puisse ajouter des services via des scripts perso mais je n’ai rien trouvé de tel.

CORRECTION : je viens de tomber sur cette page qui explique comment on peut intégrer n’importe quel site web dans Unity. Ça lève au final pas mal de doutes.

On a donc une idée qui peut sembler séduisante dont la mise en œuvre est loin d’être enthousiasmante et qui n’est pas sans poser des problèmes.

Pour ceux qui voudraient tester il est possible de passer par un ppa pour l’utiliser dans Ubuntu 12.04

sudo add-apt-repository ppa:webapps/preview
sudo apt-get update
sudo apt-get install unity-webapps-preview
sudo apt-get upgrade

Webspotting : Adresse inconnu…

Je me suis intéressé ce week-end à Webspotting, un magazine vidéo destiné à présenter des nouvelles du web et de l’Internet… Je ne reviendrais pas sur le contenu que je vous laisse libre de jugerai ni sur le format de la vidéo que je trouve totalement inadapté au web (trouvez moi un lien hypertexte dans une vidéo…), j’aborderais le mode de diffusion de ce magazine.

Ce magazine est ni plus ni moins SAIF (Sans Adresse Internet Fixe). Il est présent sur une multitude de réseau sociaux (Google+, Facebook, twitter principalement), diffusé via Youtube mais si vous cherchez un site web webspotting vous ne trouverez rien… Je voudrais le faire je ne sais même pas vers quelle page faire un lien… C’est une façon de faire qui me surprend. Se placer dans une telle situation de dépendance vis à vis de société commerciale dont rien ne garantit que les intérêts commerciaux coïncideront toujours avec ceux de leurs visiteurs et des fournisseurs de contenu c’est prendre un risque non négligeable…

C’est la grande force de l’Internet : permettre à n’importe qui de diffuser facilement sa propre production sans être dépendant de qui que ce soit… Se placer volontairement dans la situation inverse est une attitude que je n’arrive pas à comprendre surtout que derrière webspotting on trouve quand même Korben qui est loin d’être un manchot de l’Internet.

J’espère que cet exemple n’est pas révélateur d’une tendance plus générale. Certes c’est déjà le cas pour beaucoup de particulier cette évolution vers le minitel mais de ce point du vue la démarche reste plus compréhensible, l’utilisation de ce genre de service apportant une facilité d’usage loin d’être négligeable, mais si on se place dans une démarche moins individuelle et plus «professionnelle» ça le devient beaucoup moins. Si on se veut vraiment producteur de contenu avec la liberté éditoriale qui va avec il faut savoir se rendre autonome.

J’espère juste que dans le cas de webspotting ce n’est que temporaire le temps que le magazine atteigne un certain succès.

Pourquoi les sites web concernant le libre ne devrait pas utiliser GoogleAnalytics

Mise à jour du 19 janvier :

J’ai mis la réponse détaillé aux commentaire en fin d’article. Cela apporte quelques précisions intéressante à lire même pour ceux qui découvriraient l’article sur le tard.

Texte d’origine.

J’ai décidé de faire ce billet suite à un échange sur twitter avec @diaspbe après lui avoir fait la remarque à propos de l’utilisation sur diasp.be de GoogleAnalytics. Le format de twitter ne facilitant pas les longues explication je développe mon argumentaire ici.

Le contexte

Petite introduction avec les explications dedans pour ceux qui se demande de quoi on parle, pour les autres passez directement à la suite.

Google Analytics qu’est ce que c’est.

Google Analytics est un outil de calcul de statistiques de fréquentation des sites web fournit par Google. Il permet aux webmestre de suivre la fréquentation de son site, de savoir de quel moteur de recherche viennent les visiteurs, combien sont des visites unique combien de visiteurs reviennent etc etc. Il suffit pour le webmestre de s’enregistrer chez Google puis d’ajouter un petit script dans un endroit de ses pages web, c’est très simple et efficace. Car il faut bien le reconnaître cet outil est, comme souvent chez Google, bien fait et performant. Si vous y ajoutez le fait qu’il est gratuit vous comprendrez vite pourquoi on le retrouve à tout les coins du web.

Quel est le rapport entre statistique et traçage des internautes.

Pour faire ses différents calcul le service de statistique a besoin de vous identifier. En effet pour savoir combien de visiteurs reviennent il faut bien qu’il vous reconnaisse d’une fois sur l’autre ou dans le sens inverse pour calculer le nombre de visiteur unique sure une période il a besoin de savoir si vous êtes déjà venu ou pas. Donc pour assures son fonctionnement le script Google Analytics enregistre dans votre navigateur un cookie, un petit fichier contenant une variable et sa valeur, ici un identifiant unique, qu’il pourra retrouver la prochaine fois que vous venez sur le site. Ce serait très bien si cet identifiant était spécifique au site que vous visitez mais non il est unique pour tout google analytics. Ce qui veut dire que dans tout les sites web utilisant ce service pour leurs statistiques le script va réutiliser le même identifiant pour calculer les statistiques. Et évidemment il est tout à fait possible de remonter dans l’autre sens, à partir de cet identifiant on peut reconstituer une grande partie de vos habitudes de navigation, pour peux qu’a un moment où a un autre vous vous soyez connecté chez Google pour utiliser un de leur service ils peuvent facilement mettre ces données en corrélation avec d’autres le tout associé aux mots clefs que le moteur de recherche a associé aux pages web que vous avez visitez.Le tout bien entendu n’ayant qu’un seul but vous proposer de la publicité personnalisé…

En bref dites moi ce que vous lisez, je vous dirai ce qui vous intéresse et je vous en ferai de la pub.

En quoi cela pose-t-il un problème.

Vu comme ça il est assez aisé de comprendre pourquoi voir Google Analytics sur un site web dont la justification est justement de protéger notre vie privé comme diasp.be me choque.

Mais il n’est pas le seul concerné. De nombreux sites web du monde du libre utilise GA pour leurs statistique. Alors que l’une des idées fondatrice du logiciel libre est de permettre à l’utilisateur de reprendre le contrôle de son outil informatique en toute indépendance des intérêts commerciaux des éditeurs voila que ceux qui les promeuvent participent à la plus grande stratégie de profilage généralisé des internautes! Il y a de quoi trouver cela pour le moins troublant.

Je suis loin de faire parti des libristes les plus intransigeant mais là ça me gêne beaucoup. Je suis bien plus gêné par ça que de savoir qu’il y a des bouts de binaires non libre dans le noyau de ma Ubuntu. Eux au moins ne cherche pas à exploiter quoi que ce soit me concernant dans mon dos. Personnellement j’ai réglé le problème avec l’extension Firefox Ghostery (malheureusement non libre, si quelqu’un connait un équivalent libre, je suis preneur) qui bloque les scripts de statistique et régies publicitaire en tout genre mais ce n’est à mon sens qu’un mauvais palliatif.

Le plus étrange c’est le manque d’écho que je rencontre sur ce sujet de la part d’acteur du libre. J’ai essayé de lancer un gros troll la dessus sur identi.ca et twitter mais il n’a généré quasiment aucune réaction.1  Et celles que j’ai obtenues sont plutôt du genre faiblarde.

C’est  exactement la même inertie que quand on évoque la vente lié avec un windowsien de base. «Ben oui mais c’est compliqué», «J’ai juste besoin d’un truc qui marche», «Oui mais c’est gratuit» etc etc du windowsien pur souche…  Le problème est que ces réactions viennent de personnes à priori au courant et normalement concerné par ce sujet.

Peut on y faire quelque chose?

Une solution serait que chaque site web utilise son propre outil de statistique hébergé sur son propre serveur pour être sur de l’utilisation des données.Mais c’est loin d’être évident. Les solutions de statistique récentes un tant soit peu performantes sont lourdes, une comparaison entre piwik par exemple et son prédécesseur phpmyvisites2 est plutôt révélatrice, ça rend cette solution difficilement réalisable car elle nécessite de ressources pas forcément disponibles.

La parade serait à mon sens de mutualiser les besoins et les ressources. Il ne me parait pas totalement stupide de considérer que plusieurs associations (ou entreprise) du libre pourraient collaborer pour monter un service basé sur une solution libre. Je suis bien conscient que c’est facile à dire assis derrière mon bureau et bien plus difficile à mettre en œuvre mais je pense que l’enjeu est important. Surtout que pour cela il n’est pas nécessaire de mobiliser une énorme communauté.  Quelques administrateur systèmes des associations les plus en vue pourraient suffire même s’il est vrai que ce ne sont pas forcément les plus disponibles.

Je comprends bien que à débarquer comme cela en disant «bouuuu c’est pas bien ce que vous faites» je passe pour le donneur de leçon de service mais ce n’est pas mon intention. J’essaye de soulever ce qui pour moi est un problème et de creuser un peu les solutions possibles.

Si j’étais admin sys je serais bien tenté de lancer quelque chose mais ce n’est malheureusement pas le cas. Je sais faire tourner ma Ubuntu mais c’est tout, prétendre pouvoir en faire plus serait mentir, alors vouloir faire fonctionner de mes petites mains un service de ce genre serait utopique. Mais par contre si une initiative de ce genre vient à être lancé je m’y intéresserais de très très près c’est évident car si je ne peux pas m’occuper de la partie technique il y a d’autres choses à faire.

En espérant que cette contribution puisse faire avancer un tant soit peu les choses.

Réponses aux commentaires :

Quelques point abordé dans les commentaires méritent une réponse détaillé :

Le modèle économique et le problème des coût.

Perso je ne voyais pas du tout la chose sous cette angle, à aucun moment je ne pensais vraiment à un service payant. Ma vision de la chose serait plus dans une collaboration de différents sites pour administrer ensemble un serveur pour leur propres statistiques. Dans ce contexte les coûts seraient géré via un pot commun aux associations concerné. Ce serait certes plus couteux que GoogleAnalytics mais avec suffisamment de participant on peut rendre le coût supportable. L’idée telle que je la vois n’est pas du tout celle d’un service qui serait ouvert à tous du moins dans un premier temps. Ce qui n’exclut pas bien sur qu’il puisse le devenir dans un second temps la participation aux frais pouvant se faire dans ce contexte sous la forme d’une  cotisation à une association.

Pérennité des données :

C’est vrai que je n’ai absolument pas pris ce point en compte mais en même temps si des utilisateurs de GA se plaignent d’être coincé chez Google parce qu’ils ne peuvent pas récupérer leur données j’ai un peu envie de leur dire qu’il fallait y penser avant… Par contre prendre en compte ce problème dans la futur plate-forme (si elle se monte) serait effectivement une bonne chose il reste à voir ce que les outils disponibles actuellement permettent. Et s’ils ne proposent rien après tout un logiciel libre on peut y contribuer non? Mais c’est vrai que ce point ne doit pas être négligé.

L’aspect technique :

Je peux me tromper bien sur mais je ne pense pas qu’un outil de ce genre nécessite forcément un machine très performante. Mis à part le fait que Piwik3 demande des capacités de stockage importantes mais ce n’est pas forcément ce qui coute le plus cher actuellement. Cela réduit d’autant le coût d’une telle solution que la mutualisation rend d’autant plus accessible.


  1. Je ne suis pas un très bon troll non plus je l’admets 

  2. qui a longtemps tourné ici d’ailleurs avant que je me dise que je n’en avais rien à faire des stats 

  3. dans le cas où ce serait la plate-forme retenue 

NKM sur Twitter

J’ai découvert ce matin par un post de Tristan Nitot sur identi.ca : NKM autrement dit Nathalie Kausiusko Maurizet1 gazouille régulièrement sur Twitter
Une fois la surprise passé2 je dois dire que je ne sais pas trop quoi en penser. D’un coté ça me rassure, la voir là fait supposer qu’elle connaît probablement mieux internet et sa culture que certain de ses collègues3 et vu le poste qu’elle occupe (secrétaire d’état à l’économie numérique) c’est plutôt nécessaire et rassurant.
Mais d’un autre coté il faut bien reconnaître qu’il peut être difficile de trouver cela sérieux. Malgré les quelques grands noms que l’on peut y trouver twitter ressemble plus à un jouet pour adolescent boutonneux qu’a un outil de communication sérieux pour ministre. Mais faut-il restreindre la démarche à l’outil utilisé? Je ne crois pas, après tout rien n’empêche d’écrire un chef d’œuvre avec un bic.

Je n’arrive vraiment pas à me faire une opinion ferme la dessus. Pour l’instant, ce serait plutôt l’impression positive qui l’emporterait mais c’est loin d’être définitif.


  1. je ne garanti pas l’orthographe si je me trompe dites le 

  2. ben oui en période d’hadopi ce genre d’info ça vous interpelle un geek quand même 

  3. notamment celle en charge de la culture 

La sécurité selon Apple

C’est un cas extrême mais cette histoire absolument incroyable est vraiment révélatrice des risques que nous font encourir l’ensemble des sociétés qui fournissent des services sur le web. Si elles ne prennent pas les précautions nécessaire les risques d’usurpation d’identitéssont et seront de plus en plus élevés.
Ces sociétés ont une responsabilité très importante en ce domaine et elles doivent vraiment mettre en place les procédures nécessaires car plus que des problématiques techniques c’est aussi une question de méthode d’entreprise. Et une histoire comme celle ci laisse pour le moins songeur quand aux méthode d’Apple.

Par contre je n’ai pas vraiment trop d’information sur les obligations juridiques en ce domaine et en plus cela dépend bien sur de la localisation géographique de la société concerné car évidemment ces société ne sont soumis qu’a la législation de leur propre pays.

D’ailleurs qu’est ce qu’il en est exactement en France? Si quelqu’un a des infos je suis bien entendu preneur

Pétition pour un web public accessible.

Source standblog
Il y a 3 ans que la concernant « l’égalité des droits et des chances » est voté mais comme par hasard le décret concernant l’accéssibilité des sites web des services publics n’est toujours pas paru. Le site web-pour-tous.org a mis en ligne une pétition pour l’accéssibilité des services web public pour inciter le gouvernement à faire en sorte que ces décrets soient publiés.

Je l »ai bien entendu signé; maintenant c’est à vous….

NB : N’hésitez pas à lire le texte d’introduction de cette pétition il résume très bien les enjeux de l’accessibilité des sites web surtout pour ceux des services publics.

Certains fournisseurs d’accès modifieraient le contenu des pages web.

Selon le site PC World qui cite une étude de l’université de Washington c’est la détestable habitude qu’aurait prise certains fournisseurs d’accès américain. L’objectif étant essentiellement d’ajouter de la publicité dans les pages probablement dans le but d’assurer une source de revenue supplémentaire pour ces petites sociétés qui ont probablement plis de problèmes de rentabilité que les poids lourds du secteur.

La première réaction face à cela est bien entendu lié au coté particulièrement immoral de cette pratique mais je pense qu’il ne faut surtout pas s’arrêter la. La neutralité à l’égard des contenus (ainsi que de leurs origine) des fournisseurs d’accès est fondamental pour la crédibilité d’internet et est l’un des éléments qui a contribué à son succès. Se livrer à ce genre de pratique, au delà de l’aspect moral, est totalement suicidaire; cela revient à tuer la poule aux œufs d’or.

Il est vrai que prendre ce genre de risque pour assurer la rentabilité à court terme d’une société n’est pas vraiment surprenant dans le monde économique actuel mais ce n’est pas une raison pour laisser faire.
Certes cette étude manque d’envergure pour être vraiment significative, il faudrait un nombre de pages testé plus important, ainsi que plus de FAI dans plusieurs pays mais cela ne l’empêche pas de soulever un problème réel. Je dois dire que je suis assez surpris de voir l’information aussi peu relayé que cela. certes pour l’instant ne sont concernés que d’obscur FAI. du fin fond du Texas mais cela reste malgré tout un dangereux précédent. Précédent dont il faut parler pour que la pratique ne se répande pas.

Recherche de gestionnaire de marques-page

Je fais appel à vous et à votre connaissance du web parce que je recherche un site web pour gérer des marques-page des billets que j’apprécie particulièrement des blogs que je suis.
Il faudrait que :

  • Je puisse ajouter les marques pages à partir de liferea (la liste est longue ça ne devrait donc pas être un problème)
  • Je puisse tagger les marques-page
  • Je puisse récupérer la liste à partir d’un flux RSS
  • Je puisse extraire un flux RSS des marques-pages ayant us tag particulier

Je sais que je pourrais faire des tests et le trouver moi même, mais comme ce genre de site ne permettent que rarement de supprimer les comptes que l’on ouvre je préfère y réfléchir à deux fois avant d’en créer un juste pour faire un test.

Merci d’avance pour les tuyaux.

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